MyLUC : Agata

MyLUC revient cette semaine avec un entretien de celle qui a créé et popularisé #MyLUC

?Parle-moi de toi, en 5 mots:

Agata (en 5 lettres, même !), architecte, esthète-despote, chanceuse-reconnaissante, j’aime rire de blagues humoristiques ou pas.

?Quel est ton lien avec le LUC Rugby?

Je me suis mise au rugby en 2013, en boite de nuit. Ça m’a couté quatre vertèbres et ma carrière s’est arrêtée là. De frustration, j’ai forcé mon mec à s’y mettre. Du coup, il joue.
Je suis aussi membre du comité du LUC Rugby, à la suite d’une blague-pari qui a mal tourné. J’en paye le prix ! -rires-

?Trois mots pour décrire le LUC Rugby.

Engagement : je suis hyper impressionnée par la fidélité des joueurs et le temps consacré à cette équipe. Moi, j’aurais jamais pu investir autant dans une activité, surtout sportive –rires-

Famille : la confiance et l’entraide qui règnent c’est juste fou. Par exemple, quand je viens au bord du terrain avec Marcel –mon fils de deux ans- je peux le laisser courir dans tous les sens, y a toujours un « tonton » pour jeter un œil bienveillant. Ceux qui bossent sponsorisent les étudiants, les anciens s’investissent sur le terrain ou en dehors. Bref, c’est une grande famille.

N’importe quoi : ai-je vraiment besoin d’en dire plus ? –l’équipe de journalistes intérimaires insiste- Disons qu’ils sont redoutables de créativité quand il s’agit de faire les n’importe quoi. Je suis à chaque fois surprise ! Et pas de place pour la honte. Et toujours bon enfant. –pause- J’ai l’impression que ça s’entend que je les aime bien , non ?

?Pourrais-tu nous donner ta recette de ta légendaire bolo ? (NDLR – d’aucuns disent que c’est la meilleure du monde)

Je suis comme un pharaon, on m’enterra avec ma recette, les mecs. (Insistance dans l’assistance) Ok ! Un indice : « ça ressemble à des tomates mais c’est pas des tomates ».

?Si tu devais occuper un poste dans l’équipe du Luc rugby, quel serait-il ?

Gardien de but !!! (L’assemblée s’offusque et rappelle qu’il n’y a pas de gardien de but au rugby) Vous devriez, vous prendriez moins d’essais. Pensez-y !